Terrorisme, attentats, islam, religieux, radicalisation, fous, sectaires...que de mots employés par l’ensemble des nations, toutes touchées par ce même phénomène djihadiste. L’étendue de ce phénomène inquiète, laisse perplexe, alimente les peurs ; comment combattre ce phénomène ? Quelles solutions ont apporté les gouvernements, français et étrangers, tant pour permettre la résilience que pour dissuader les potentielles recrues attirées par ce mouvement radical ?
Le gouvernement français a dû apporter des réponses concrètes à cette "démocratisation" d'une radicalisation violente. Sur son territoire, la France est une victime de cette jeunesse radicalisée dont certains sont ses enfants.
Ce travail par l’Institut Nationale des Hautes Etudes de la Sécurité et de la Justice – Groupe de diagnostic stratégique – présente les dessous de cet embrigadement qui résonne non pas à une seule catégorie de personnes mais qui fait écho à des profils variés, d’univers économique, professionnel et sociétal divers et opposés.
Au-delà du rapport à l’islam, de sa place dans la société, il est intéressant de s’attarder sur le fonctionnement et les méthodes des pays étrangers.
Pour pallier à ses maux, panser ses plaies et celles de ses enfants, le numéro vert a été mis en place en France, et la structuration d’un réseau déconcentré de cellules de suivi et de prise en charge des individus concernés sont des réponses qui présentent de nombreux atouts.
Quelles sont donc les méthodes et desseins de nos voisins ? De quelles idées la France doit s'inspirer ?