Ce rapport de janvier 2020 est le fruit d'un groupe de travail de la FFP, composé d'une équipe de cliniciens de la psychiatrie de l'adolescent et du jeune adulte qui a auditionné une trentaine de cliniciens engagés dans des pratiques cliniques au contact avec des personnes concernées par le risque de radicalisation et /ou leurs proches.
Les auditions se sont structurées autour de deux questions centrales:
- quelle est la place des maladies mentales et de la psychopathologie parmi les facteurs déterminants du processus de radicalisation?
- quel rôle pour la psychiatrie face à la radicalisation au niveau de la prévention, de l'évaluation et des prises en charge?